cycle 43 : Chaotarques
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3157
 
Die Suche des Joseph Andalous
La quête de Joseph Andalous
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : 2022
 

Deux agents de l’O.M.U., Dimitri Neugebauer et Yshabel Touwan, sont en mission sur Lepso. De mystérieux objets y circulent. Ils tombent sur un informateur moribond qui prononce le nom de Refuge de Tsubeil.

Sur la Terre, Homer G. Adams rencontre Reginald Bull qui a changé son apparence. Il l’informe des événements sur Lepso. Il est question d’une psycho-cage capable d’extraire la conscience d’une personne et de la conserver. Il est fait aussi mention de Sälsinde, le Trox qui n’en est pas vraiment un.

Bull part pour Lepso à bord du Vase plein de roses d’acier dont la commandante est la Terranienne Walle Bateaux. Le commandant en second est Uecker London. Bull prend le nom de Joseph Andalous.

Des problèmes techniques et du personnel en grève rendent le vol difficile. Bull apprend qu’à bord se trouve un sextant Kantor, fourni par Adams. Il doit scruter l’intérieur du vaisseau car il y a quelque chose d’indéfinissable à bord. Cela se révèle être Sälsinde.

Le Trox assure qu’il ne représente aucun danger. Sur Lepso, Bull et London apprennent de Neugebauer que le Refuge de Tsubeil est un habitat en orbite. Là, des affaires sont menées avec d’étranges objets. Reginald Bull et Uecker London décident d’aller voir.

Ils fréquentent un casino puis entrent en contact avec Agathon Z, le propriétaire du Refuge de Tsubeil. Il est informé du trafic d’objets et accepte d’aider Bull et London. Il organise une rencontre. Parmi les objets se trouvent la caserne du Cosmocrate Taurec, un gantelet noir et une bague couleur turquoise. Les objets sont prêts à être vendus aux enchères.

Bull participe, mais la vente est interrompue car des inconnus pénètrent dans l’habitat. Des affrontements ont lieu. Une fois la situation réglée, les enchères reprennent. Quand Bull est de nouveau menacé, Sälsinde intervient.

Celui-ci a intérêt ce que rien n’arrive à Bull. Il veut qu'il l’accompagne à bord de Fenerik.
 


© Michel Vannereux