cycle 35 : Négasphère
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2480
 
Die Prognostiker
Les Prognostiqueurs
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : 2009
 

Le 5 mai 1347 N.D.G., le Sage Universel d’Azdun est amené par la barge AGYYRE à travers le Mur Central. La parapositronique Escher ainsi que le docteur Lawrence Savoire et Isokrain atteignent ainsi le cœur de la galaxie Hangay. Le Diakatien sent aussitôt l’influence de la vibration-psi. Il doit intervenir pour empêcher qu’Escher soit repéré. Le commandant de la barge ne peut répondre au souhait du Sage Universel, être emmené à l’Aiguille du Chaos. GLOÏN TRAÏTOR est en plus toujours en phase d’assemblage. Le Sage est amené sur un élément de construction, le segment 3h3h2, où il doit rester pendant plusieurs mois.

Escher commence aussitôt à prendre sous son contrôle le réseau informatique ennemi mais il tombe sur une résistance inattendue. Certains Processeurs de la parapositronique, les esprits d’Humains décédés, présentent des dysfonctionnements. Ainsi, Warding Atarin se sent revenu à l’époque où il était un agent du S.L.T. sur Arkonis. Escher fait connaître à Savoire qu’il a un besoin urgent de nouveaux Processeurs. Le Diakatien et Isokrain reçoivent ensuite pour mission de manipuler les positroniques de la forteresse pour faciliter le travail d’Escher.

Lors d’une action de ce type, ils découvrent la véritable source des problèmes d’Escher : des cyborgs qui se désignent comme les Pronostiqueurs-T et qui renforcent continuellement le réseau. Pour des raisons inconnues, ils conversent entre eux sur un réseau secondaire. Manifestement, leur présence doit rester secrète au sein de la Colonne Terminale. Un jour, Savoire et Isokrain ont l’occasion de suivre deux d’entre eux. Ils sont toutefois surpris et Isokrain est contraint de tuer les cyborgs. Il récupère le cristal-enregistreur que transportait l’une des créatures.

Escher peut maintenant travailler correctement. Il prend le contrôle d’une grande partie du segment quand celui-ci est finalement transporté par quinze barges vers l’Aiguille du Chaos.

 


© Michel Vannereux