cycle 34 : Terranova
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2392
 
Die vergessene Stadt
La ville oubliée
 
Auteur : Michael Marcus Thurner
Année de parution : 2007
 

Le 31 janvier 1346 N.D.G., l'escadre CombiTrans reprend sa route pour Hangay. L'étape suivante doit être le transmetteur solaire de Jiapho-Duo. Quelque chose ne se déroule pas comme prévu et le croiseur halutien AHUR commandé par Domo Sokrat se rematérialise tout seul. Ils découvrent un Lémurien mort dérivant dans l'espace, assis sur un fauteuil pourvu de propulseurs. D'autres sont signalés. Ils proviennent manifestement d'une gigantesque station spatiale composée de milliers de croiseurs soudés les uns aux autres.

Cette ville, qui porte le nom d’Inkar-Durn, est ce qui reste d’une ancienne flotte lémurienne. Environ 850 000 Lémuriens vivent ici, ignorants de leur passé. La surpopulation et le manque de ressources rendent la vie difficile. Pour relâcher la soupape, une « bacchanale » est organisée tous les ans, au cours de laquelle presque toute la population se bourre de drogues. Une autre sorte de fuite de la réalité consiste en un rituel de suicide où les candidats se font catapulter dans l'espace, attachés sur un fauteuil.

Les Halutiens essaient d'entrer en contact avec les Lémuriens d’Inkar-Durn. Ils déclenchent une panique car les habitants de la cité spatiale croient être les seuls êtres vivants au monde. Quelques individus ont développé un don parapsychique : ils peuvent accumuler de l'hyperénergie et la transformer en psychomatière. Ils pompent de cette façon l'énergie de l’AHUR qui se retrouve bloqué. L’un d’eux, Filiaut Cartomyst, est demeuré sobre et il demande l'aide de Domo Sokrat. Ensemble, ils arrivent à projeter dans l'espace la dangereuse psychomatière ainsi créée.

Un des effets secondaires de l'explosion est la révélation de la présence proche d'un hypercocon à l'intérieur duquel on soupçonne que se trouve l'escadre CombiTrans. Les Halutiens y pénètrent par un tunnel, après avoir laissé aux Lémuriens des enregistrements sur leur passé et du matériel.
 


© Michel Vannereux