PERRY RHODAN n° 46
Le barrage bleu
 
Cycle
Les Bioposis
 
Traduction
Jacqueline H. Osterrath
 
Edition originale
Fleuve Noir Anticipation n° 882
 
Parution
1978
   
    PREMIÈRE PARTIE
    L'ENLÈVEMENT DE L'EMPEREUR

    Tandis qu’Atlan attend l’arrivée de Perry Rhodan sur Arkonis, on tente de l’assassiner mais la tentative est déjouée par Fellmer Lloyd. Atlan, Rhodan et Tama Yokida se rendent au cœur du Régent pour écouter son rapport sur les Akonides. La seule politique envisageable semble être l’attaque sans préavis. C’est alors que se matérialise un transmetteur akonide. Les trois hommes sont capturés et emmenés.

    À leur réveil, ils sont confrontés à Auris de Las-Toôr. Elle les laisse à nouveau seuls. Rhodan en profite pour contacter télépathiquement sa nouvelle nef amirale, le Duc-de-Fer, et donne l’ordre à sa flotte et à celle d’Atlan de se préparer à l’attaque du Système Bleu.

    Ayant maîtrisé deux gardes et un officier, Perry Rhodan et ses compagnons gagnent le poste central du navire. Ils en prennent le contrôle et interrompent le vol linéaire pour faciliter la poursuite au Duc-de-Fer. Mais le navire akonide possède un transmetteur qui est mis en marche et plonge tout le monde dans l’inconscience.

    À nouveau conscients, Perry Rhodan, Atlan et Tama Yokida se rendent compte qu’il est préférable d’attendre les secours là où ils se trouvent, c’est à dire dans une station spatiale, plutôt que se faire amener sur la planète, Atlan simule un malaise et Perry Rhodan exige les soins les plus diligents.

    Ils font traîner les discussions mais la comédie est découverte et Auris vient les chercher pour les transporter sur la planète Drorah. Le Duc-de-Fer arrive alors et Rhodan reprend contact avec les mutants.

    Le groupe se retrouve dans la salle des transmetteurs. Les téléporteurs surgissent alors et transportent tout le monde à bord du Duc-de-Fer. Les stations spatiales produisant l’écran bleu sont détruites une à une par les navires terriens à propulsion linéaire, ouvrant la voie pour les nefs classiques. Faisant avec leur flotte le siège du système, Atlan et Perry Rhodan exigent et obtiennent la reddition des Akonides, un avant-poste terrien sur Drorah ainsi que les plans de la propulsion linéaire akonide.

    DEUXIÈME PARTIE
    L'EMIR ET SES ENFANTS

    Des créatures insectiformes se posent sur la planète Perdita, le monde des mulots-castors, ou Ilts, et commencent la construction d’appareils qu’ils appellent orghs. Les mulots, ravis de l’aubaine, jouent avec ces nouveaux jouets et provoquent une catastrophe qui entraîne la destruction de la plupart des nefs étrangères.

    L’éruption énergétique est détectée par un cargo qui vient en reconnaissance mais ne détecte rien de spécial. Terrania ayant aussi repéré le phénomène, les données sont comparées. Il semble qu’il s’agit d’une énergie qui ne peut exister. Perry Rhodan en est immédiatement informé. Mais malgré tous les efforts, rien n’est détecté. Les Janus, qui sont pourtant revenus, se camouflent. Une pierre bleue d’une matière inconnue est découverte. On finit par découvrir qu’il s’agit d’une énergie organique solidifiée.

    Depuis quelque temps, L’Émir est déprimé. Il finit par révéler à Perry Rhodan qu’il souffre du mal du pays. Compréhensif, le Stellarque lui accorde une permission d’un mois. Le mulot-castor part pour la planète Perdita avec la corvette C-09. À sa grande horreur, quand il arrive, sa planète d’origine a changé d’orbite. Il s’écrase à la surface et entreprend immédiatement de retrouver ses congénères qui tentent de survivre aux immenses changements climatiques.

    Il se rend près de l’appareil qui a provoqué la catastrophe. Il s’attaque à l’orgh et parvient à la détruire. Une grosse explosion se produit. Alors que la fin approche, L’Émir parvient à sauver vingt-huit mulots-castors en les téléportant à bord de la frégate Birmanie venue à la rescousse. La planète Perdita est complètement détruite.

FASCICULES ORIGINAUX

98
Entfesselte Gewalten Kurt Brand 1963
107
Das blaue System K.H. Scheer 1963



AUTRES EDITIONS

     
Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 46 (1983)
Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 46 (1997)


© Michel Vannereux