PERRY RHODAN n° 19
Les méduses de Moofar
 
Cycle
La Troisième Force
 
Traduction
Jacqueline H. Osterrath
 
Edition originale
Fleuve Noir Anticipation n° 445
 
Parution
1971
   
    Première partie
    MOOFAR

    Les victimes de l’hypereuphorie sont endormies avec du gaz pour qu’elles ne se blessent pas. Krest propose de rallier Arkonis pour demander l’aide du Régent. Le psychologue ès robots Orson Certch le déconseille, aussi Perry Rhodan décide-t-il de ne présenter que huit malades. Le Ganymède et le Sans-Pareil partent pour Arkonis.

    Le Régent annonce qu’une drogue est créée d’après la drogue sécrétée par les animaux d’Honur, d’où la quarantaine. Il communique aussi la position de la planète Moofar, le monde d’origine des Moofs. L’amiral Vétren de Tatstran est déjà en route pour l’anéantir. Le Grand Coordinateur donne les pleins pouvoirs à Rhodan ainsi que du matériel.

    Rhodan apparaît à temps pour empêcher l’escadre de Vétren de détruire la planète. L’Émir détecte un appel mental leur conseillant de faire demi-tour. Des milliers de Moofs encerclent le Sans-Pareil. L’Émir sent que les Moofs s’unissent et lancent une attaque psychique. Le vaisseau ouvre le feu puis change de position. Des créatures étranges apparaissent à bord, des globes gris de cinq mètres de diamètre émettant un bruit de cornemuse.

    Les cornemuses ne possèdent aucun organe indiquant une intelligence autonome. L’Émir capte des ondes mentales d’Arras et le Sans-Pareil ouvre le feu sur leur base. Un mystérieux Trorth envoie un message psi les prévenant d’un danger. L’Émir fait sauter une bombe dans la caverne abritant le générateur de l’écran d’énergie de la base. Le Sans-Pareil débarque alors des robots et des chars. Les Terriens découvrent que la base sert à produire les cornemuses et n’a aucun rapport avec l’hypereuphorie. Ils apprennent seulement que la solution doit se trouver sur Arralon.

    Le Moof Trorth les contacte. En fait, les Moofs sur Zalit n’étaient que des enfants dévoyés par les Arras. Cinquante Moofs montent à bord du Sans-Pareil.


    Deuxième partie
    ARRALON

    Les deux vaisseaux terriens quittent Moofar VI pour Arkonis. Rhodan appelle le Régent et obtient de lui la position d’Arralon, la planète principale des Arras. Le Grand Coordinateur met une escadre-robot à sa disposition.

    Julian Tifflor, Thora et Wuriu Sengu partent avec une Gazelle pour la planète qui n’est qu’un gigantesque hôpital. Ils présentent Thora comme malade de l’hypereuphorie. Tifflor fait croire qu’il l’a enlevée à Rhodan. Le lendemain, Thémos, un Arra haut placé, informe Tifflor que Thora est guérie mais elle dit tout ignorer de relations entre eux. Tifflor est emmené pour être étudié. Il appelle mentalement L’Émir à l’aide.

    Le Sans-Pareil et le Ganymède se posent de force sur Arralon. Rhodan débarque avec des robots au nom du Régent. Il est rejoint par une délégation conduite par Thémos. Ils pénètrent dans le sous-sol. L’ascenseur dans lequel ils se trouvent chute soudain. Tifflor et Sengu tentent de s’échapper mais ils sont paralysés. L’Émir bloque la chute de l’ascenseur et intervient à temps pour sauver Tifflor et Sengu. Il récupère le sérum anti-euphorie. Rhodan est informé qu’une escadre de Francs-Passeurs attaque le Sans-Pareil.

    Le supérieur de Thémos, Borat, fait appel aux Lourds. Le Lourd Talamon arrive avec une escadre.

    L’Émir traque Thémos qu’il amène devant Rhodan. En tentant de fuir, il tombe dans un puits d’ascenseur. L’Émir choisit de ne pas le retenir. Les malades sont ensuite traités. Rhodan ordonne à l’escadre-robot de faire un blocus autour du système. Quand Talamon est informé par Rhodan des actes des Arras, il se montre amical et repart. Rhodan exige du Conseil des Médecins qu’ils ne fabriquent plus de maladies et que les peuples actuellement malades soient gratuitement guéris. Les Arras sont contraints d’accepter.


FASCICULES ORIGINAUX

44
Der Mensch und das Monster K.H. Scheer 1962
45
Seuchenherd Aralon Clark Darlton 1962



AUTRES EDITIONS

     
Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 19 (1981)
Fleuve Noir, coll. Perry Rhodan
n° 19 (1992)


© Michel Vannereux