cycle 42 : Mythes
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3092
 
Erdkern
Noyau terrestre
 
Auteur : Christian Montillon et Susan Schwartz
Année de parution : 2020
 

L’Intendant de Poussière reconnaît la légitimité de Perry Rhodan et est prêt à activer le transfert de la Terre. Il qualifie l’installation de disque rotatif Zéro. Une préparation de deux mois est nécessaire. Avant que les visiteurs ne partent, l’Intendant de Poussière réveille les dons latents d’Anzu Gotjian. Elle découvre peu après qu’elle est capable de traverser la matière.

Fany Anckerstrom est manipulée depuis son enfance par Porphyrio Dana. Elle fait des cauchemars sur les Dolans et est persuadée que Perry Rhodan conduira l’Humanité à sa perte. Son amie, Sulola Joop, une agente du D.L.T., se fait reconnaître comme une Vanothe. Elle aide les deux sœurs à mieux contrôler leurs pouvoirs. Lors d’une visite impromptue chez Milton Chu, Fany apprend qui il est réellement et qu’elle n’est qu’un outil. Elle est en colère, mais fait porter la responsabilité sur Perry Rhodan.

Un vote a lieu le 22 avril 2047 NDG, et cinquante-sept pour cent de la population approuvent le transfert. Personne ne sera obligé d’y participer. Un exode massif vers Mars commence. Rico restera et prendra la place de Homer G. Adams comme Conseiller. Les préparatifs durent jusqu’à la mi-août.

Durant une cérémonie officielle, Fany s’attaque à Perry Rhodan en arrêtant son cœur par télékinésie. Mulholland le téléporte à temps en sécurité, et Donn Yaradua paralyse la mutante. Joop essaie de jeter une bombe, mais elle est abattue. Peu après, Perry Rhodan rend visite à Fany dans sa chambre d’hôpital et essaie de la débarrasser de sa haine. Elle lui révèle la véritable identité du Vano.

Milton Chu/Porphyrio Dana se laisse arrêter sans opposer de résistance. Interrogé, il raconte son histoire et accepte toute responsabilité, admettant avoir commis une erreur.

Le 24 août, le transfert de retour est engagé, malgré une tentative de sabotage des Vanothes. Iya et son satellite reprennent leur place.
 


© Michel Vannereux