FASCICULE PERRY RHODAN n° 2714
 
Das Ultimatum der Onryonen
L’ultimatum des Onryons
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : 2013
 

La conquête de la Cour Polyport Ithafor-5 était un acte symbolique car les Téfrodiens ne peuvent pas l’utiliser tant qu’ils ne disposent pas d’un Contrôleur-A. Pourtant, le 28 juillet 1514 N.D.G., les cheminées de transfert s’activent d’elles-mêmes. Le scientifique en chef Famather Myhd observe les phénomènes étranges et découvre un doigt pétrifié. On ne peut déterminer à quel peuple il appartient. Le commandant Gorden Kandrit n’accorde aucune importance à la découverte jusqu’à ce qu’on détermine que le doigt est âgé de plus de dix-neuf milliards d’années et donc plus vieux que l’Univers. Il doit pourtant provenir de l’univers standard vu que son altérité est nulle. Projjid Tyx, l’ancien scientifique en chef bleu, suppose qu’il provient d’un lointain futur.

Le colonel Anna Patoman hait l’inaction mais elle doit assister sans rien faire à un combat entre Yülziishs et Téfrodiens dans le système de Ghatamyz. Les Bleus subissent une défaite. D’autres unités du Nouveau Tamanium apparaissent. Une autre bataille semble inévitable quand surgissent 450 vaisseaux des Onryons. Ghonvar Toccepur se manifeste depuis le Charill et interdit tout combat. Les Téfrodiens attaquent quand même en utilisant des propulseurs à transitions pour ne pas être affectés par les torpilles linéaires. Vetris-Molaud contraint les Onryons à fuir. Toccepur a toutefois un atout dans sa manche. Il ordonne aux Téfrodiens de se retirer sinon la Cour Atopique de la Lune sera déplacée en orbite de Tefor, le centre du Nouveau Tamanium. Il annonce de surcroît la désactivation du Réseau Polyport.

La Nouvelle O.M.U. veut semer la confusion entre Téfrodiens et Onryons. Un commando dirigé par Ronald Tekener est envoyé sur Ithafor-5 depuis la station Jergall mais le transfert se déroule mal. À l’arrivée, le saren de Tekener annonce que toutes ses fonctions vitales ont cessé et que son cœur est irréparable. Tekener s’effondre.
 


© Michel Vannereux