cycle 35 : Négasphère
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2459
 
Komplex Astrovent
Complexe Astrovent
 
Auteur : Wim Vandemaan
Année de parution : 2008
 

Quand le traïtank 1.199.188, que Roi Danton a baptisé GOULE NOIRE, s’approche du Monde-aux-Cent-Soleils, les Terraniens ont une surprise. Le monde central des Bioposis a disparu. On ne découvre que de lourdes perturbations du tissu spatiotemporel. Le traïtank poursuit sa route et franchit soudain une sorte de barrière. Le Monde-aux-Cent-Soleils lui apparaît alors, entouré de 300 000 croiseurs composites désactivés, 536 Escadrons du Chaos, 38 forteresses de la Colonne et un ensemble complet d’usines. Un anneau de 240 000 kilomètres de champs d’énergie est également repéré. Roi Danton comprend qu’il s’agit de cabinets devant composer la future chaobarge VULTAPHER. Le Monde-aux-Cent-Soleils a été choisi pour l’assembler.

Pour ne pas éveiller les soupçons, Danton se rend avec sa suite sur l’usine TRAÏGOT-1105, jouant le rôle de Dantyren. Peu après un puissant potentiel énergétique à ultra-haute-fréquence apparaît. Il s’agit de MINATERG, le noyau de la chaobarge. Kirmizz se trouve à bord. Il ordonne à Dantyren de se présenter à lui. Roi Danton n’a pas d’autre choix. Il utilise un transmetteur pour gagner la surface de la planète centrale des Bioposis mais ne trouve pas tout de suite Kirmizz.

Il rencontre les Bioposis Gessounin et Zaubilski qui lui viennent en aide. Gessounin est apparemment le premier Bioposi à avoir développé des parafacultés. Il est capable de déceler quand des événements importants se produisent et arrive à manipuler le temps.

Le fils de Perry Rhodan rencontre enfin Kirmizz mais l’entretien se passe mal. Le pilote reconnait la supercherie et s’apprête à tuer le faux Dantyren. Gessounin intervient à temps et ramène Danton quelques minutes en arrière. Danton évite les erreurs qui ont permis à Kirmizz de le démasquer. Il joue le rôle d’un être sans envergure que Kirmizz finit par laisser partir.

Le 3 juillet 1347, le GOULE NOIRE repart pour la Terre.
 


© Michel Vannereux