FASCICULE PERRY RHODAN n° 2116
 
Sturm auf den Irrläufer
Assaut sur l'astéroïde errant
 
Auteur : Arndt Ellmer
Année de parution : 2002
 

Quand le LEIF ERIKSSON atteint le système des Pombariens, le Phœnix a déjà disparu. Le commandant Rudo K’Renzer a pris en chasse le navire ovale d’où le robot sigan Tomcat émet un signal de détresse. Une balise radio apprend à Rhodan ce qui s’est passé sur la planète. Il voit sur un film L’Émir s’effondrer, poignardé. L’arme s’est plantée en plein cœur, une blessure mortelle même pour un porteur d’activateur. Le LEIF ERIKSSON rejoint le Phœnix près d’une ancienne lune de vingt kilomètres de diamètre dérivant dans l’espace.

Les Sigans à l’intérieur de Tomcat essaient de résoudre la panne totale due au couteau planté. Ils découvrent que ce type de poignard est chargé d’énergie psionique. Ils peuvent se décharger au contact d’un être organique. Comme le robot est fait de matière inerte, les Sigans parviennent à décharger l’arme en toute sécurité. Quand le vaisseau dans lequel il se trouve quitte l’hyperespace, le robot est presque entièrement réparé. Les Sigans arrivent enfin à voir ce qui se passe à l’extérieur et aperçoivent des E’Valentes ainsi que les étranges êtres lanceurs de couteaux, des colosses au visage masqué. Shecat est là aussi, de même que L’Émir dont le corps sans vie repose dans un caisson de verre. Un des « lanceurs de couteaux » enlève le poignard planté dans le cœur du mulot-castor. Celui-ci se remet à respirer mais il doit être soigné d’urgence pour survivre.

Rhodan ordonne d’attaquer la lune qui est en fait une station secrète des Tradomiens. Les Galactiques parviennent à déposer des troupes de combat.

Les Sigans dans Tomcat profitent des explosions pour passer à l’action. Shecat se révèle aussi pleinement opérationnel. Le robot récupère le corps de L’Émir et le place à son intérieur, à l’emplacement déjà utilisé pour enlever l’empereur Bostich. Les Katsugos doivent affronter les lanceurs de couteaux puis rejoignent les troupes de débarquement. Les Galactiques réunis quittent la station alors qu’un processus d’autodestruction est en cours.
 


© Michel Vannereux