cycle 23 : Les Ennox
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1647
 
Der letzte Schlag
La dernière attaque
 
Auteur : Kurt Mahr
Année de parution : 1993
 

Le 28 juillet 1201 l'Hyperparésie disparaît durant dix minutes. Un hypermessage de la planète Ariga dans le système de Wartok est reçu sur Arkonis. L'analyse de la conversation des Ennox pro-Akonis prouve l'attaque imminente de la Légion Bleue. Atlan mobilise aussitôt une flotte. Le jour suivant la parésie disparaît à nouveau pour dix heures. Durant ce temps l'Utikien Senktar d'Ippezal part d'Ariga avec le LOGRAN pour Jimmerin. Il demande de l'aide pour le système menacé. Dans le planétoïde du CAT Nadu Imeiri, une hyperphysicienne de la planète Heyschryk, découvre que l'extinction progressive de deux lignes d'émission du sodium prouvant la modification des constantes universelles permet de prévoir le début et la fin de l'Hyperparésie. Le 31 juillet, la Zone Morte se dissout définitivement à 5 h 13.

Atlan part aussitôt pour Ariga avec l'ATLANTIS à la tête d'une flotte de combat. En chemin l'Ennox Astrid envoyée de NGC 6503 apparaît. Elle lui raconte ce qui est arrivé dans le système de Sheokor. Aucune attaque n'ayant eu lieu durant les deux semaines suivantes Atlan part pour l'Humanodrome. Là il apprend du conseiller akonide Tephar Alropis que grâce à Arinu Barras la politique vis-à-vis d'Arkonis a changé.

Le 21 août Nadu Imeiri découvre que le spécialiste en transmetteurs Tupar Huaynac, venu sur Jimmerin avec le LOGRAN, est un traître. Il travaille avec la Légion Bleue. Trente-six croiseurs akonides apparaissent devant Jimmerin et ouvrent le feu. Les Akonides ont appris sa position grâce aux Ennox. Des commandos akonides pénètrent dans l'astéroïde par un transmetteur. Senktar d'Ippezal se sacrifie en faisant sauter un couloir pour empêcher leur intrusion. Une flotte arkonide attaque les unités akonides et en détruit la plupart.

Le 31 août la nouvelle du départ de la Flotte-Dragon arrive. Partie de NGC 6503 le 2 août elle est attendue dans la Voie Lactée début octobre.
 


© Michel Vannereux