cycle 22 : Les Linguides
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1581
 
Tod im Weltraumfort
Mort dans un fort spatial
 
Auteur : Horst Hoffmann
Année de parution : 1991
 

Le 1 juillet 1173, le LOMORAN et le MONTEGO BAY rejoignent Archetz, le monde principal des Francs-Passeurs. Les deux vaisseaux sont accompagnés par la flotte de Paylaczer qui se révèle être une super-guerrière clonée par les Arras il y a 21 ans avec du matériel génétique datant de Monos. Cebu Jandavari remet des marchandises pour la valeur de cent milliards de galax, que Paylaczer est allé chercher fin juin sur différents comptoirs, la deuxième livraison de la Hanse Cosmique aux Linguides. Les Marchands Galactiques doivent ainsi pouvoir prendre les marchés libérés, la Hanse ayant des difficultés de livraison après son marché avec les Linguides.

Des vaisseaux de combat francs-passeurs accompagnent le LOMORAN sur la planète Killat dans le système d’Aralau, qui veut se séparer d’Arkonis après la visite de quelques Médiateurs, tout comme les systèmes voisins de Grissom, Polemor et Yoloma. Atlan arrive le 5 juillet sur l’ATLANTIS avec la flotte arkonide qui s’oppose Cebu Jandavari. La Médiatrice envoie Roi Danton traiter avec l’Arkonide sur l’ancien fort spatial cantaro Hercule-2942. Duuson, Ferenan et Gornium, trois Hauris du MONTEGO BAY, ont fourni des informations sur la trahison de Roi Danton envers Cebu Jandavari. Paylaczer, totalement dévouée à la Médiatrice, se rend aussi sur le fort spatial. Ses Lourds tuent les trois Hauris qui, suivis par Marfin Kinnor, ont quitté le MONTEGO BAY afin de remettre un cristal-enregistreur à Paylaczer pour prouver le double-jeu de Danton. Paylaczer est contaminée par une drogue mortelle datant de Monos. Atlan dispose d’un antidote et la force à détruire le cristal avec les preuves des intrigues de Danton. La Lourde jure au Terranien qu’elle se vengera de lui.

Pour renforcer la position de Danton auprès de Cebu Jandavari, Atlan renonce aux mesures militaires contre les quatre systèmes arkonides visant à l’indépendance.
 


© Michel Vannereux