cycle 22 : Les Linguides
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1559
 
Atlan und der Linguide
Atlan et le Linguide
 
Auteur : Marianne Sydow
Année de parution : 1991
 

Les Médiateurs linguides qui examinent sur Drumbar les Biotes non influençables par eux et les Fismons établissent que ceux-ci possèdent une réalité individuelle particulièrement forte. Il est étonnant que ce soit justement ces Biotes qu’élèvent les Nakks.

Le 21 juillet 1172 NDG apparaît le Stratège des Fismons avec une flotte de 130 vieux vaisseaux spatiaux sur Drumbar, mais les pirates sont vite encerclés par des unités arkonides et rendus inoffensif. Le Stratège se dévoile comme le clone bleu Yelyaz, un ancien Bélier.

Aramus Shaenor rend visite à Atlan et l'interroge sur les Nakks qui enlèvent les Biotes et les Fismons. Entre le Médiateur et l'Arkonide, qui n’éprouve pas d’hostilité envers Shaenor en raison de leur rencontre sur Teffon, une discussion se développe sans que le Linguide utilise ses capacités. Atlan suppose que son cerveau-second rend impossible au Médiateur de l'influencer. A la fin l'Arkonide répond au désir de Shaenor et l'informe sur les Nakks.

Peu après, Shaenor reçoit la visite d’un Nakk qui prête à son activateur cellulaire un intérêt particulier. Le Médiateur ne peut que saisir incomplètement la réalité individuelle de l’étrange créature, mais il amène par la conversation le Nakk à abandonner le 23 juillet leur base de Banatu, libérer leurs prisonniers terraniens et laisser décider aux Biotes s'ils veulent rester chez eux. Plus de 200 Biotes se joignent volontairement aux Nakks qui quittent Drumbar le 30 juillet avec leur vaisseau-trident. Les Linguides partent aussi après qu'Aramus Shaenor ait persuadé Atlan de présenter les demandes des Biotes devant le Conseil du Galacticum.

Le 31 juillet, Perry Rhodan apparaît pour une courte durée avec le FONDATION dans le système des soleils Uliha, Lihama et Halil parce qu'il a reçu de Sato Ambush un message sur le projet des Nakks. Puis, le FONDATION par pour son expédition vers Truillau.
 


© Michel Vannereux