cycle 21 : Les Cantaro
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1478
 
Planet der Sammler
La planète des collectionneurs
 
Auteur : Marianne Sydow
Année de parution : 1989
 

Sur Hélios, Irmina Kotchistova se laisse donner un amplificateur psi par Sato Ambush. Quand Dao-Lin-H’ay découvre que cet appareil peut influencer l’Amimotuo, elle arrive à obtenir des informations où Ernst Ellert parle de son séjour sur Karapon et sur Simed Myrrh de Lokvorth. Homer G. Adams laisse l’ANDRASSY à Ambush et la Kartanienne qui veulent rechercher d’anciens enregistrements sur Lokvorth. Voulant quitter Hélios pour trouver le calme, Irmina Kotchistova et Jennifer Thyron prennent part au voyage vers le système de Scarfaaru. Sur Lokvorth ne se trouvent ni Cantaros ni agents des Béliers. L’Humanodrome est surveillé par des vaisseaux cantaros.

Les habitants de Lokvorth-Therm qui ont érigé de simples maisons sur les restes de l’ancienne métropole ne s’occupent que de leurs intérêts personnels. Ils sont divisés en plusieurs groupes caractérisés par un vêtement ou une coupe de cheveux. La Guilde des Voleurs, l’Union des Porteurs d’Eau ou la Corporation des Ploutocrates dont les membres collectionnent des objets particuliers jouent un rôle important. Toutes les banques de données de Lokvorth-Therm ont été pillées mais Ambush trouve Kroesorus, le principal collectionneur. Le ploutocrate dispose des plans originaux de l’Humanodrome. En plus des plans d’Endehar Roff de 800 existe un deuxième original identique, daté d’un an plus tard et signé Simenon Myrrhen. Un Lokvorthien qui parvint à s’introduire dans l’Humanodrome il y a cent ans n’y trouva qu’une centaine de Nakks. D’après un enregistrement d’Albert Holm, de telles créatures se trouvaient déjà dans la station géante en 850. En échange d’une copie des informations d’Ellert sur Karapon, Kroesorus laisse au pararéaliste le mémocube avec les plans de Roff et Myrrhen.

Tandis qu’Ambush et Dao-Lin-H’ay reviennent sur Hélios, Irmina Kotchistova et Jennifer Thyron restent sur Lokvorth car elles espèrent éviter des demandes d’aides non désirées dans l’atmosphère libérale d’une colonie isolée et finir leur vie en paix.
 


© Michel Vannereux